Un bourdonnement persistant près du toit, des allées et venues d’insectes sous les tuiles : ces signes révèlent souvent la présence d’un nid sous votre toiture. Cette situation préoccupe légitimement de nombreux propriétaires chaque année en Île-de-France.


Selon l’occupant du nid, les risques varient considérablement. Les guêpes et frelons présentent un danger réel pour les personnes allergiques et peuvent endommager l’isolation. Les bourdons, en revanche, sont des pollinisateurs pacifiques qu’il convient généralement de préserver.


Cet article vous guide pour identifier le type de nid présent, évaluer les risques associés et décider de la meilleure conduite à tenir selon votre situation.

Dans cet article nous verrons :
  • Les différents types de nids que vous pouvez trouver sous une toiture et comment les reconnaître
  • Les risques sanitaires et structurels selon l’espèce présente dans votre habitation
  • Les critères précis pour décider si vous pouvez laisser un nid en place ou non
  • Les signes d’alerte qui imposent une intervention professionnelle rapide

Quels types de nids peut-on trouver sous une toiture ?

Plusieurs espèces d’hyménoptères choisissent les toitures pour installer leur colonie. Chaque type de nid présente des caractéristiques distinctes permettant une identification rapide.

Le nid de guêpes : le plus fréquent

nid de guepes

Les guêpes construisent des nids en papier mâché grisâtre, formés de fibres de bois mastiquées. Ces structures peuvent atteindre la taille d’un ballon de football en pleine saison. Les guêpes privilégient les espaces abrités sous les tuiles, dans les combles ou derrière les bardages.

Un nid de guêpes actif se reconnaît facilement. Vous observerez un va-et-vient constant d’insectes entrant et sortant par le même point. L’activité est maximale aux heures chaudes de la journée. Le bourdonnement caractéristique devient audible depuis l’intérieur de l’habitation lorsque le nid prend de l’ampleur.

Le nid de frelons européens

nid de frelons europeens

Le frelon européen (Vespa crabro) construit des nids similaires à ceux des guêpes, mais plus volumineux. La couleur du nid est généralement brun clair. Ces insectes mesurent entre 2,5 et 3,5 centimètres. Leur corps présente un abdomen jaune strié de noir, semblable à une grosse guêpe.

Contrairement aux idées reçues, le frelon européen n’est pas naturellement agressif. Il n’attaque que si l’on s’approche à moins de 3 mètres de son nid ou si on l’effraie par des mouvements brusques. Le frelon européen joue un rôle écologique important en régulant les populations de mouches, guêpes et autres insectes nuisibles.

Le nid de frelons asiatiques : une menace particulière

nid de frelons asiatiques

Le frelon asiatique (Vespa velutina) se distingue par son corps entièrement noir, à l’exception d’un anneau jaune orangé sur l’abdomen et de pattes jaunes. Plus petit que le frelon européen, il mesure entre 2 et 3 centimètres.

Son nid présente une particularité importante : l’ouverture se situe sur le côté et non à la base. En été, la colonie déménage généralement vers un nid secondaire construit à plus de 10 mètres de hauteur, souvent dans les arbres. Ce nid peut atteindre des dimensions impressionnantes, jusqu’à 80 centimètres de diamètre.

Le frelon asiatique constitue une menace sérieuse pour la biodiversité. Selon le Muséum National d’Histoire Naturelle, cette espèce invasive arrivée en France en 2004 décime les colonies d’abeilles domestiques qui ne savent pas se défendre contre ce prédateur.

Le nid de bourdons : une présence bénéfique

nid de bourdons

Les bourdons construisent des nids très différents. Leur habitat ressemble à un amas de cellules en cire, parfois recouvert de matériaux isolants. Les bourdons s’installent dans des cavités existantes : espaces entre les tuiles, isolation, cavités murales.

Ces insectes trapus et velus se distinguent facilement des guêpes par leur apparence. Leur bourdonnement est plus doux et leur comportement nettement moins agressif. Les bourdons ne piquent que s’ils se sentent directement menacés ou écrasés.

Caractéristique Guêpes Frelon européen Frelon asiatique Bourdon
Taille 1-2 cm 2,5-3,5 cm 2-3 cm 1,5-2,5 cm
Couleur Jaune et noir rayé Jaune et noir Noir avec anneau orange Noir et jaune, velu
Agressivité Modérée Faible Modérée près du nid Très faible
Taille du nid Ballon de football Légèrement plus grand Jusqu’à 80 cm Petit, discret
Rôle écologique Prédateur d’insectes Régulateur naturel Espèce invasive Pollinisateur essentiel

Quels risques présente un nid sous votre toiture ?

La présence d’un nid sous votre toiture engendre des risques de nature et d’intensité variables. Nous distinguons les risques sanitaires des risques structurels.

Les risques sanitaires selon l’espèce

Les piqûres d’hyménoptères constituent le premier danger. Selon l’Assurance Maladie (ameli.fr), une piqûre unique peut avoir des conséquences dramatiques chez une personne déjà sensibilisée. La réaction allergique la plus grave est le choc anaphylactique, une urgence vitale nécessitant un appel immédiat au 15 ou au 112.

Chez les personnes non allergiques, une piqûre provoque une douleur locale avec rougeur et œdème qui disparaissent en quelques heures. Chez les personnes allergiques, le gonflement peut dépasser 10 centimètres et atteindre les articulations voisines. Une urticaire généralisée, des difficultés respiratoires ou un malaise imposent une prise en charge médicale urgente.

À retenir Les piqûres multiples représentent un risque toxique même sans allergie préalable. Au-delà de 5 piqûres chez un enfant et 20 chez un adulte, l’injection de venin peut provoquer des vomissements, vertiges ou malaise.

Les guêpes deviennent particulièrement agressives en fin d’été lorsque la colonie atteint son apogée. Leur comportement défensif s’intensifie car elles protègent les futures reines. Un nid situé près d’une zone de passage augmente significativement les risques d’attaque.

Les bourdons présentent un danger nettement moindre. Ces insectes pacifiques ne piquent que dans deux cas de figure : l’écrasement accidentel ou l’agression directe de leur nid. La piqûre reste possible mais demeure rare.

Les risques pour votre habitation

Un nid sous toiture peut également endommager votre bien immobilier. Les guêpes et frelons mâchent le bois pour fabriquer leur nid. Ce comportement fragilise progressivement les charpentes et autres éléments en bois de la structure.

La présence d’un nid favorise l’accumulation d’humidité. Les galeries creusées par les insectes obstruent parfois les aérations naturelles. Ce phénomène augmente le risque de moisissures dans les combles. Les déjections des insectes laissent également des traces d’humidité sur l’isolation et les matériaux environnants.

Un nid volumineux peut provoquer un affaissement des matériaux sous son poids. Les nids de frelons asiatiques atteignent parfois des dimensions considérables en fin de saison. Cette masse exerce une pression sur la couverture et peut accentuer des fissures existantes.

Attention Les guêpes exploitent les moindres faiblesses de votre toiture pour s’installer. Un espace entre deux tuiles, une tuile cassée ou un bardage mal fixé deviennent des portes d’entrée idéales. Avec le temps, le nid peut provoquer des infiltrations d’eau.

Peut-on laisser un nid en place sous sa toiture ?

La réponse dépend de plusieurs facteurs : l’espèce concernée, l’emplacement du nid, la saison et la présence de personnes vulnérables dans le foyer. Certaines situations permettent une cohabitation temporaire, d’autres exigent une intervention rapide.

Quand envisager de laisser le nid tranquille

Les colonies de guêpes, frelons et bourdons suivent un cycle annuel. Toutes ces espèces disparaissent naturellement avec les premiers froids. Seules les jeunes reines fécondées survivent à l’hiver en hibernant dans des abris protégés. Le nid abandonné ne sera jamais réutilisé l’année suivante.

Cette connaissance permet d’adopter une approche raisonnée. Si vous découvrez un nid en septembre ou octobre, la colonie déclinera d’elle-même dans les semaines suivantes. Les mâles et les ouvrières meurent progressivement avec la baisse des températures. Dès novembre, le nid devient totalement inactif.

Les bourdons méritent une attention particulière. Ces pollinisateurs jouent un rôle irremplaçable dans l’écosystème. Certaines espèces de bourdons bénéficient d’une protection légale en France. Si leur présence ne cause pas de nuisances majeures, la meilleure solution consiste à les laisser tranquilles. Leur colonie disparaîtra naturellement à la fin de l’été.

Critères favorables pour laisser un nid en place :

  • Le nid est situé loin des zones de passage et des ouvertures
  • Aucune personne allergique ne vit dans le foyer
  • La découverte intervient en fin de saison (septembre-novembre)
  • Il s’agit d’un nid de bourdons sans nuisance particulière
  • L’accès au nid est difficile et l’intervention risquée

Quand l’intervention devient indispensable

Plusieurs situations imposent une intervention sans attendre. Un nid de guêpes ou de frelons situé près d’une porte, d’une fenêtre ou d’une zone de passage représente un danger permanent. Les allées et venues quotidiennes des occupants sont perçues comme des menaces par les insectes.

La présence d’une personne allergique dans le foyer constitue une indication formelle d’intervention. Le risque de choc anaphylactique ne doit jamais être sous-estimé. Les enfants et les personnes âgées méritent également une vigilance accrue.

Le frelon asiatique nécessite une destruction systématique. Cette espèce invasive menace gravement les populations d’abeilles et la biodiversité. Les autorités recommandent de signaler tout nid de frelon asiatique aux organismes locaux de lutte. L’application INPN Espèces permet d’informer les spécialistes de la présence de cette espèce.

Un nid qui prend de l’ampleur dans une zone habitable impose également une action rapide. Un petit nid printanier peut se transformer en structure imposante capable d’abriter plusieurs milliers d’individus en été.

Checklist : signes imposant une intervention immédiate
  • Le nid est situé à moins de 5 mètres d’une entrée ou d’une fenêtre
  • Des guêpes ou frelons pénètrent régulièrement dans l’habitation
  • Une personne allergique vit dans le foyer
  • Il s’agit d’un frelon asiatique (corps noir, pattes jaunes)
  • Le nid grossit rapidement et génère un va-et-vient intense
  • Les insectes montrent un comportement agressif inhabituel

Comment évolue un nid au fil des saisons ?

Comprendre le cycle de vie des colonies permet d’anticiper les risques et de choisir le bon moment pour agir. Ce cycle est strictement annuel pour les guêpes, frelons et bourdons.

Le printemps : la fondation du nid

Au printemps, généralement entre mars et mai, les reines sortent d’hibernation. Chaque fondatrice cherche un emplacement abrité pour construire son nid primaire. Ces premiers nids restent discrets, souvent pas plus gros qu’une balle de golf.

Durant cette période, la reine assure seule toutes les tâches. Elle construit les premières alvéoles, pond ses œufs et nourrit les larves. Cette phase dure environ 45 jours avant l’émergence des premières ouvrières. C’est le moment idéal pour repérer et détruire un nid avant qu’il ne devienne problématique.

L’été : l’expansion de la colonie

Dès que les premières ouvrières apparaissent, le développement du nid s’accélère. Les ouvrières prennent en charge la construction, l’alimentation et la défense du nid. La reine se consacre exclusivement à la ponte.

Un nid de guêpes peut abriter plusieurs centaines à plusieurs milliers d’individus en pleine saison. L’activité atteint son maximum entre juillet et août. C’est aussi la période où les risques de piqûres sont les plus élevés.

Pour les frelons asiatiques, l’été marque souvent un déménagement. La colonie quitte le nid primaire pour un nid secondaire construit en hauteur. Ce nouveau nid grossira jusqu’à l’automne.

L’automne : le déclin et la reproduction

À partir de septembre, la colonie entre en phase de reproduction. La reine produit des mâles et de nouvelles femelles sexuées. Après l’accouplement, les jeunes reines fécondées quittent le nid pour trouver un abri où hiverner.

Cette période est marquée par un changement de comportement. Les ouvrières deviennent plus agressives car la nourriture se raréfie. Le nid reste dangereux jusqu’aux premières gelées sérieuses.

Dès octobre-novembre, selon les conditions climatiques, les ouvrières et les mâles meurent progressivement. Le nid se vide de ses occupants et devient inactif. Il n’est plus nécessaire d’intervenir à ce stade.

Le saviez-vous ? Un nid de guêpes ou de frelons n’est jamais réutilisé l’année suivante. Les jeunes reines fondent systématiquement une nouvelle colonie dans un nouvel emplacement. Retirer un nid vide en hiver reste cependant conseillé pour éviter d’attirer d’autres nuisibles.

Pourquoi ne jamais intervenir soi-même sur un nid

La tentation d’agir seul est compréhensible. Pourtant, les risques encourus dépassent largement les économies espérées. Nous déconseillons formellement toute intervention personnelle sur un nid actif.

Les dangers d’une intervention amateur

Les conditions d’intervention sur une toiture cumulent plusieurs facteurs de risque. L’accès en hauteur nécessite du matériel adapté et une expérience de travail en élévation. Une chute depuis un toit peut avoir des conséquences dramatiques.

La réaction des insectes face à une agression est brutale et collective. En quelques secondes, jusqu’à 20 ouvrières peuvent sortir du nid et attaquer. Dans un espace clos comme des combles, cette riposte ne laisse aucune échappatoire. Les piqûres multiples provoquent une réaction toxique grave, même sans allergie préalable.

Les produits vendus en grande surface ne sont pas assez puissants pour neutraliser un nid complet. Ils dispersent les insectes sans les éliminer. Cette intervention partielle aggrave souvent la situation en rendant la colonie plus agressive et plus difficile à traiter par la suite.

Attention aux erreurs courantes : Ne jamais utiliser d’insecticides grand public sans diagnostic professionnel préalable. Ces produits dispersent les insectes sans les éliminer, aggravant l’infestation et la rendant plus difficile à traiter.

Qui contacter pour faire détruire un nid ?

Les pompiers n’interviennent plus systématiquement pour la destruction des nids de guêpes et frelons. Cette mission est désormais confiée à des entreprises privées spécialisées. Si les pompiers acceptent d’intervenir, leur prestation est facturée, parfois à des tarifs supérieurs aux professionnels privés.

Les entreprises de désinsectisation disposent de l’équipement adapté et de produits professionnels. Leurs techniciens portent des combinaisons intégrales avec visières de protection. Ils utilisent des perches longue portée, des cannes télescopiques ou des nacelles selon l’accessibilité du nid.

Notre équipe de techniciens spécialisés en guêpes et frelons intervient rapidement sur Paris et toute l’Île-de-France. Nous disposons de toutes les certifications nécessaires : Certibiocide, Certiphyto et agrément LodiGroup. Nos interventions sont garanties et nous assurons un suivi post-traitement rigoureux.

Répartition des frais entre locataire et propriétaire :

En cas de location, les frais de destruction se répartissent selon la loi du 23 décembre 1986. Le locataire prend en charge les produits utilisés. Le coût de la main d’œuvre incombe au propriétaire. Si le nid était présent avant la signature du bail, la totalité des frais revient au propriétaire.

Certaines communes prennent en charge la destruction des nids de frelons asiatiques sur les propriétés privées. Renseignez-vous auprès de votre mairie pour connaître les dispositifs existants dans votre secteur.

FAQ

Pour déterminer si un nid est encore actif, observez-le pendant plusieurs minutes. Un nid actif présente un va-et-vient constant d’insectes, particulièrement visible aux heures chaudes de la journée. Si aucun mouvement n’est perceptible après une observation prolongée, le nid est probablement abandonné.

La saison constitue également un bon indicateur. En hiver, tous les nids de guêpes, frelons et bourdons sont inactifs. Seules les reines hibernent dans des abris extérieurs au nid. Au printemps et en été, l’absence de mouvement après plusieurs observations suggère un nid déserté.

Un nid abandonné ne présente plus de danger. Vous pouvez le retirer vous-même une fois certain de son inactivité. Cette précaution évite d’attirer d’autres nuisibles attirés par les restes de la structure.

Les bourdons ne causent pas de dégâts à la charpente. Contrairement aux guêpes qui mâchent le bois pour construire leur nid, les bourdons utilisent des matériaux existants (mousse, herbes sèches) et s’installent dans des cavités déjà présentes. Ils ne creusent ni ne rongent les structures en bois.

La présence de bourdons sous votre toiture ne menace donc pas l’intégrité de votre habitation. Ces pollinisateurs choisissent simplement un espace abrité pour leur colonie saisonnière. Le principal désagrément reste le bourdonnement perceptible par temps chaud, lorsque les insectes ventilent leur nid.

Si le nid ne gêne pas et que les bourdons ne pénètrent pas dans la maison, nous recommandons de les laisser tranquilles. Leur colonie disparaîtra naturellement à l’automne. Vous contribuerez ainsi à la préservation de ces pollinisateurs essentiels à notre écosystème.

Si vous êtes allergique aux piqûres d’hyménoptères, la présence d’un nid près de votre habitation constitue une urgence. Ne tentez aucune approche du nid et contactez immédiatement un professionnel de la désinsectisation pour une intervention rapide.

En attendant l’intervention, prenez des précautions strictes. Gardez les fenêtres et portes proches du nid fermées. Évitez toute activité à proximité de la zone concernée. Assurez-vous d’avoir toujours votre trousse d’urgence avec stylo d’adrénaline auto-injectable à portée de main.

Prévenez votre entourage de votre allergie et de la marche à suivre en cas de piqûre. En cas de réaction allergique (gonflement important, difficultés respiratoires, malaise), composez immédiatement le 15 ou le 112. L’injection d’adrénaline doit être réalisée sans attendre l’arrivée des secours si vous possédez un stylo auto-injecteur.

Oui, un nid de frelons asiatiques doit systématiquement être détruit, quelle que soit la période de l’année. Cette espèce invasive constitue une menace majeure pour les abeilles domestiques et la biodiversité locale. Les autorités recommandent fortement son éradication.

Le frelon asiatique a été classé espèce exotique envahissante. Sa destruction est fortement encouragée par les organismes publics de santé et d’environnement. Certaines collectivités locales proposent des aides financières ou une prise en charge pour la destruction de ces nids.

Avant toute intervention, signalez la présence du nid sur la plateforme INPN Espèces ou auprès de votre organisme local de lutte. Ce signalement permet aux spécialistes de cartographier la progression de l’espèce et d’adapter les stratégies de contrôle. Faites ensuite appel à un professionnel agréé pour la destruction du nid en toute sécurité.

Le coût d’une intervention professionnelle varie selon plusieurs facteurs : accessibilité du nid, hauteur, type d’insecte et région. En moyenne, comptez entre 70 et 150 euros pour la destruction d’un nid de guêpes ou de frelons. Ce tarif comprend généralement le déplacement, l’intervention et la garantie d’efficacité.

Les interventions en grande hauteur nécessitant du matériel spécifique (nacelle, cordistes, perche télescopique) entraînent un surcoût. Demandez toujours un devis précis avant l’intervention. Les professionnels sérieux annoncent leurs tarifs par téléphone, sans mauvaise surprise lors de la facturation.

Vérifiez si votre assurance habitation inclut une garantie nuisibles. Certains contrats prévoient le remboursement des frais d’intervention jusqu’à un certain plafond. Les conditions générales de votre contrat précisent les modalités de prise en charge.

Sources

  • MNHN (Muséum National d’Histoire Naturelle) – Le frelon asiatique à pattes jaunes (2024) [FR] : https://www.mnhn.fr/fr/frelon-asiatique-a-pattes-jaunes
  • Assurance Maladie (ameli.fr) – Piqûres de guêpes, abeilles, frelons et bourdons (2024) [FR] : https://www.ameli.fr/assure/sante/urgence/morsures-griffures-piqures/piqures-guepes-abeilles-frelons-bourdons
  • INRAE – Traquer le retour au nid des frelons asiatiques : une piste prometteuse pour la lutte contre ces dangereux prédateurs d’abeilles (2018) [FR] : https://www.inrae.fr/actualites/traquer-retour-au-nid-frelons-asiatiques-piste-prometteuse-lutte-contre-ces-dangereux-predateurs-dabeilles
  • MAIF – Nids de guêpes ou frelons et assurance habitation (2022) [FR] : https://www.maif.fr/habitation/guide-assurance-habitation/nid-guepes
  • Arthropologia – Frelon européen et Frelon asiatique (2024) [FR] : https://www.arthropologia.org/blog/frelon-europeen-frelon-asiatique
photo de Kévin GRANADA RIOS
Article écrit par :

Kévin GRANADA RIOS

Fondateur de Kosmos Solutions, spécialiste en dératisation et désinsectisation
Profil LinkedIn

Fasciné par la biologie et l’environnement depuis mon plus jeune âge, j’ai choisi de m’orienter vers le domaine du contrôle des nuisibles après mes études. Fort de mes compétences en Pest Management et de mon expérience en gestion d’entreprise, j’ai créé Kosmos pour offrir des solutions professionnelles et respectueuses de l’environnement. Mon expertise s’étend de la prévention à l’éradication des nuisibles, et j’ai eu l’occasion de travailler sur des cas variés et complexes plus particulièrement à Paris et sur le réseau national. J’espère que mes guides vous aideront à comprendre et à résoudre vos problèmes de nuisibles.

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